lundi, décembre 18, 2006

Renaissance/ Perspective




















Dans le mot "Renaissance", il y a "Naissance" et "Re", le même "re" que "re-trouver", "re-faire". Le mot entier signifie, qu'il y a bien eu une naissance, mais qu’il a fallu "recommencer".


1- C'est en Italie qu’il y a la "naissance" avec les Romains vers les années zéro, et même avant, avec les Grecs.
2- Et, c'est en Italie que ça "recommence" dans les années 1400 ; c’est la Renaissance.
Les Italiens, eux, appellent cette époque le "Quattrocento" ; les années 1400. En français, on dit : le "Quinzième siècle". Le XVe siècle débute en 1400 et finit presque en 1500. C'est bien compliqué!
Pour nous, c'était il y a 600 ans.
Il s’est écoulé six cents hivers.
(Dessiner une ligne au tableau, et placer quelques dates à l’échelle.)
Au Quattrocento les Italiens découvrent que les Romains et les Grecs savaient tout faire bien avant eux et qu'il fallait reprendre leurs idées, donc, « réapprendre » ce qui était oublié, au cours des siècles, en cours de route...
C'est en fouillant le sol de Rome et en relisant les vieux livres grecs et romains (qui avaient plus de 1500 ans ! Donc de l'époque d’avant Jésus-Christ) … que les Italiens découvrent que leurs ancêtres savaient déjà beaucoup de choses. Ça a été oublié avant le Moyen-âge. Il fallait tout retrouver.

Avant la Renaissance c’était le Moyen Âge, qui n'était pas "Moyen", il était plutôt "Gothique" on en parlera une autre fois. Avant le Moyen Âge, c'était vraiment moyen.
Sans entrer trop dans l’histoire du Moyen Âge, il faut tout de même dire qu’à cette époque, la foi en Dieu était spectaculaire, aussi impressionnante qu’elle l’est actuellement à la télé quand on regarde une cérémonie à Lourdes, à La Mecque, ou sur le Gange.



Dans les années 1400 (au Quattrocento), aimer Dieu est très sérieux, mais l'Homme commence aussi à bien s'aimer lui-même, il peut en négliger Dieu.
L’homme de la Renaissance trouve que les corps des hommes, des femmes et des enfants sont beaux avec leurs muscles, leurs courbes, leurs yeux pétillants et leurs beaux vêtements.
Ce sont les peintres et sculpteurs qui vont montrer la beauté des corps à tout le monde et c'est grâce à eux qu'aujourd'hui nous avons des traces de la vie de cette époque-là, puisque, la peinture s'est bien conservée, et les sculptures en pierre sont en bon état.

Il faut aller au Musée du Louvre pour voir toutes ces oeuvres; les Français en ont beaucoup rapportées d'Italie en les payant ou en ne les payant pas du tout.
Mais bien sûr, il y a encore plus de peintures et de sculptures de la Renaissance en Italie, à Florence, à Venise, à Rome, et dans bien d'autres villes... C'est incroyable la flopée d’artistes qu’il y a eu à cette époque-là dans chaque ville ! …Un peu comme les footballeurs de notre époque.
Certains peintres étaient célèbres, on connaît Zidane, Michel-Ange et Léonard de Vinci, mais il y en a beaucoup d'autres..., des centaines.)
La "Renaissance italienne" n'est pas qu'une histoire de peintures et de sculptures, c'est aussi un nouveau départ en architecture, en cinéma, en littérature, en poésie, en sciences, en tout.
(... Pour Zidane et le cinéma c'est une blague, un anachronisme ; il faudra attendre encore cinq siècles, 500 vacances d’été, avant de voir Charlot et Mickey sur les murs et Zidane dans un stade.)


Les images du MOYEN-ÂGE.


Avant 1400, (un peu avant la Renaissance) il n'y avait ni télé, ni cinéma, ni photographies sur les murs, seulement la peinture qui est surprenante pour nous aujourd'hui.

Voici trois surprises:
1- Les ciels sont en or.
2- Les têtes des personnages importants sont entourées d'une assiette en feuille d'or qui coûte cher.
Le ciel n'est donc pas bleu ciel comme nous savons qu'il est en réalité, mais de couleur "or" ; ce n'est pas le ciel de notre planète, et ce ne sont pas des gens de la terre qui habitent là.
3- Troisième surprise, ces gens-là peuvent avoir des ailes, ils ne sont vraiment pas d'ici, ils sont de la planète Paradis..., personne n'en est revenu pour savoir comment c'était. Les peintres font comme s’ils y étaient allés. En fait ils peignent ce que leur demande le Pape et comme ils ont beaucoup d'imagination, ils imaginent bien; ils peignent les anges bleus, rouges et jaunes. Ils les entassent les uns sur les autres comme des perroquets sur un fil télégraphique qui voudraient tous être sur la même photo autour d’un homme important.



À la Renaissance, après 1425 ( avec Masaccio) le ciel devient bleu ciel, mais ça s'est fait progressivement.
Ce n'est pas du jour au lendemain que les peintres se sont dit :
« À partir d'aujourd'hui nous peindrons le ciel bleu ciel... Ou gris s'il fait gris... Il ne sera plus jamais couleur "or" puisqu'il n'est jamais en "or" sur terre. Avec l’or, on se fera des bijoux ! »

Mais, ces petits changements sont encore peu de choses; la Renaissance c'est bien plus fort que ça, c’est plus fort que de passer de l'or au bleu, ils vont inventer la "perspective", c’est difficile à dessiner, mais c’est super !



Au Moyen Age quand on regardait une scène peinte sur un mur dans une église, on voyait bien que c'était un mur dur : Tonk ! Tonk !
Personne ne disait : «Tiens ! Il y a déjà douze personnes dans cette salle qui sont en train de tout manger, si je ne me dépêche pas d’aller à table, je n'aurai plus que les miettes. »
Ils disaient plutôt : « ces douze bonshommes me font penser aux apôtres qui mangeaient avec Jésus, je les respecte. »
Ils ne pensaient même pas qu'ils étaient tous aplatis comme des crêpes sur le mur. Les visiteurs de l’église ne risquaient vraiment pas de se cogner contre le mur en voulant s'installer à la table, ils n'y croyaient pas une seconde, mais cela leur faisait beaucoup réfléchir à Jésus, au Christ (Jésus ou Christ, c’est le même homme.)
Et, puisqu'ils étaient très croyants ils étaient treize zémus en pensant à lui.



« Et si on n’était pas croyant ? »
À l'époque là ce n'était pas possible d’imaginer qu'on puisse ne pas croire en Dieu.
À notre époque, on peut croire à toutes sortes de Dieux, on peut même ne croire à aucun, et ne connaître ni l'histoire de Jésus ni celle d'Allah ni celle de Bouddha, etc. Du coup, ça embrouille encore plus. On ferait bien d'apprendre un peu quelque chose sur toutes ces religions !
Quand on n'y connaît rien, on se demande ce que font douze bonshommes réunis autour d'une table. On ne peut pas deviner que c’est la bande à Jésus, on peut seulement dire:
« Préparent-ils une affaire louche ? »

Avant, pendant et après la Renaissance, les peintres continuent à raconter :
1- Des histoires de Jésus, de sa mère Marie, de ses amis les Apôtres, qui habitent au-delà du ciel (au Paradis nuageux ou au Purgatoire, la salle d’attente).
2- Des histoires de démons du dessous la terre (l'Enfer volcanique qui fait peur.)
3- Mais aussi des histoires de Zeus et de sa famille qui font la pluie et le beau temps là-haut. N’en parlons pas sinon ça complique encore plus, plus personne n’y croit, mais ils aiment cela.

Les thèmes des images ne changent pas en Europe pendant presque 2000 ans.

Les images de LA RENAISSANCE.


Ce qui change à la Renaissance, par rapport au Moyen-âge, c'est que les Saints ne flottent plus dans l'espace comme s'ils étaient en l'air (en apesanteur) ; ils sont souvent posés sur un sol en carrelage froid flanqué de colonnes bien arrangées sur les côtés. Ils ont une ombre à leurs pieds, ils donnent l'impression d'être de vrais hommes avec de belles auréoles sur la tête, portées comme des chapeaux chinois. On voit bien que les personnages sont lourds comme des bonshommes en chair et en os; ils ne donnent plus l'impression d'être découpés dans le carton.
Néanmoins, quand on regarde bien, on se dit que les personnages n'ont rien à faire ensemble, on croirait qu'ils ne se voient pas, qu'ils s'ignorent; on pourrait les changer de place, ça donnerait la même chose…, comme des pièces sur un jeu d'échecs.

Au début de la Renaissance, si on est très bon observateur, on peut trouver deux ou trois fois le même personnage important sur la même image.
Le peintre faisait une bande dessinée sans séparer les vignettes comme on le fait aujourd'hui. Quand les vignettes ne sont pas séparées, il faut bien connaître l'histoire avant pour la suivre! Sinon on peut croire qu'il y a des jumeaux ou des triplés dans l’histoire, (Saint Pierre est présent trois fois dans "Le Paiement du Tribut" de Masaccio)..
Aujourd'hui, peu de gens connaissent bien l'histoire des Saints et de Jésus, alors ils devinent les histoires les plus connues. Mais, la plupart du temps, ils mélangent tout, ce qui dégoûte de regarder les images de cette époque.


Essayons de regarder une peinture très connue :

Une ANNONCIATION.




Vous voyez un bel ange avec des ailes magnifiques bien habillé qui fait de drôles de signes de la main à une jeune fille occupée à faire semblant de lire. Au-dessus de la jeune fille voltige une colombe qui semble descendre du ciel avec un fil d'or.
Résultat de l’enquête : c'est un messager du ciel qui vient annoncer à Marie qu'elle va avoir un fils qu'elle appellera Jésus.
Cette histoire a été peinte des centaines de fois !
Poursuivons l’enquête.
Marie n'est pas super contente, elle ne saute jamais au plafond, c'est une jeune fille comme les autres, mais elle est O.K pour être la Maman d'un fils célèbrissime, elle incline la tête et baisse les yeux.
Jusqu'ici on peut tout comprendre, mais tout de même ! ce n’est pas commun qu'un messager du ciel atterrisse pour annoncer la naissance d'un Sauveur. Mais si !
Mais bon, avec Cendrillon, Harry Potter, la Guerre des Etoiles, on voit des choses plus compliqués.
Là où ça s’embrouille dans l’histoire de la jeune Marie, c'est quand, devant la porte de sa chambre, on trouve une "courge" et une "pomme" . C'est difficile à comprendre pourquoi c’est là ?



Et pourtant, c’est plus simple à admettre de repérer une pomme et une courge sur le seuil d’une porte qu’un ange aux ailes multicolores qui fait le pied de grue devant la porte !
Oui ou non ?
À l'époque ils savaient tous pourquoi tout cela ( l’ange, la courge et la pomme) était devant la porte,
On connaît la pomme d'Eve qui explique le péché (la première désobéissance des hommes).
« … Mais la courge? » interroge le détective.
Il y aura des détails de notre époque que nos descendants ne comprendront peut-être plus.
« les panneaux de signalisation routière »
« Alors la courge ? »
« la courge, c'est pour dire que le Christ n'est pas vraiment mort même après le coup de lance qu’il a reçu en plein cœur sur la croix. Ce légume placé devant la porte veut exprimer qu’il ressuscitera alors que Jésus n'est pas encore né. C’est complexe, mais c’est exact. »
Il faut arrêter l’enquête …

…Et parler de LA RENAISSANCE.


Les artistes de la Renaissance se sont demandés si la géométrie ne pourrait pas les aider à comprendre comment peindre une vraie maison, celle de Marie, par exemple. Comment la dessiner en volume sur le papier plat.
Est-ce si simple que cela de dessiner une maison qui ne donne pas l’impression d’être de travers comme au Moyen âge ?
C'est beaucoup plus facile de la construire avec des pierres que de la dessiner sur une feuille de papier !
Les maçons savent depuis longtemps construire une maison en pierres, mais les peintres n’y sont arrivés qu’à la Renaissance.
On pourrait croire que ce n'est pas une difficulté d'aplatir une maison sur du papier : c’est le cas aujourd’hui, mais c'est parce que les hommes de la Renaissance ont réussi à le calculer, depuis nous faisons comme eux.
Regardons la boîte d'emballage en carton d'un téléviseur et essayons de la dessiner sur du papier.
Essayez !

Ce n'est pas facile...
Même avec une règle, il y a des lignes injustes.
Il y a des lois mathématiques; c’est l’Italien Alberti qui a écrit petit à petit le livre qui a aidé les peintres, mais ça n'a pas été facile, les Grecs et les Romains n'y sont jamais arrivés, ils mélangeaient tout, ils s’y sont cassés les dents.
1- Cependant, certains peintres pensaient que c'était un problème trop énervant qui les empêchait de peindre religieusement, alors ils continuaient à tout aplatir comme au Moyen Age. (Fra Angelico.)
2-D'autres peintres, au contraire, n'en dormaient plus de la nuit tant ils essayaient de bien dessiner avec ce système très compliqué de règle, d’équerre, et de compas. (Piero de la Francesca.)



On appelle ce système : LA PERSPECTIVE.

Le mot peut faire peur.
En latin le mot fait moins peur, il signifie : "voir à travers."
Mais, c’est plutôt "voir sur du papier", donc, "voir la réalité sur du papier".

La perspective c’est la façon de dessiner un vrai objet (en volume) sur le papier (qui est plat) ; l’objet semble déformé.

Les peintres de la Renaissance sont des fous de géométrie.
Ils ne veulent pas dessiner une guitare comme Picasso, qui lui la dessine trop vite en pièces détachées sur une table.
Mais Picasso n'est pas encore là! … Dans cinq siècles seulement …Alors on n’en parle pas.
Oui mais, comme nous sommes au bout de l'échelle du temps, nous pouvons tout connaître et tout mélanger, et ne plus rien comprendre aux problèmes d'un peintre de la Renaissance qui lui, s'énervait à comprendre comment dessiner une guitare (luth) avec un compas et une équerre.
Regardons un peintre au travail:
Il pose un luth sur une table puis il ferme la porte et il l’observe par le trou de la serrure avec un seul oeil.
On ne doit pas regarder avec les deux yeux, ça c'est une trouvaille de la Renaissance ; le peintre décide que son regard sera celui d'un cyclope, c’est ce qui se passe lorsqu’on regarde dans un appareil photo d’aujourd'hui. Pour dessiner, les deux yeux ne servent à rien, il faut décider lequel on prend, ça dépend si on est gaucher ou droitier. (Faire le test de "l'oeil directeur*".)

Le peintre observe bien l'instrument de musique par le trou de la serrure, mais il ne le voit que d'un côté, il ne le voit pas entièrement, c'est normal. Il ne peut pas le changer de place puisqu'il est derrière la porte.
Il essaye de le dessiner tel qu'il le voit, c'est difficile.
Il essaye de le dessiner "tel qu'il le voit" et non pas "tel qu'il s'en souvient", il n'est pas Picasso qui s’amusait quand il dessinait.
Le luth est à dessiner méthodiquement, pas très amusant. Le peintre de la Renaissance a besoin d’un fil à plomb et d’un niveau à bulle pour dessiner ce qu'il voit.
Le peintre a oublié de fermer la fenêtre !
Par le petit trou de la serrure, il voit l'instrument de musique sur la table, il voit aussi par la fenêtre ouverte qui est derrière la table. Il aperçoit un grand arbre au loin..., qui est tout petit, plus petit que le luth qui est près de lui, sur la table..., il se demande pourquoi, il devient gaga.
Il se demande s'il ne rêve pas :
"Ce n’est pas un bonzaï tout de même ? "
Alors il dessine l'arbre avec le luth, mais, sur le dessin, on ne comprend pas ce qu'ils font ensemble...
C’est ça la perspective : "c'est regarder à travers un petit trou…, et dessiner."
Tout est bizarre quand on y pense et quand on regarde bien . Une fenêtre rectangulaire devient trapézoïdale, mais le cerveau en prend l'habitude, il ne nous le rappelle pas souvent.
Le peintre qui dessine essaye de ne pas se faire piéger par son cerveau qui corrige tout naturellement.
Quand il a fini sa peinture, et qu'il retourne dans la vraie vie, ses yeux se relâchent : Les gens tout petits ne sont pas des Lilliputiens, ce sont des gens comme les autres qui marchent au loin.

Rendons une feuille de papier magique.

Prenez une feuille blanche A4.
Demandez-vous : « Peut-il y avoir ma chambre là-dessus ? »
Tournez- là dans tous les sens.
Regardez une photo de votre chambre. C'est bien votre chambre, mais vous ne pouvez pas dormir dedans !




Une photo, on y croit, ce petit bout de papier vous fait penser à votre chambre, vous voyez un lit. Vous vous souvenez, qu’il est confortable.
Une feuille de papier peut devenir magique si on y dessine sa chambre.
Dessinez trois lignes au crayon (ou regardez le croquis ci-joint) :
- Première ligne ; tracez sans appuyer une verticale qui part du haut ( au tiers en partant de la gauche.)
- Deuxième ligne ; tracez une horizontale (au tiers, sur le côté droit en partant du bas).
Constatez que les deux lignes se croisent ; gommez les deux bouts de ligne en bas à gauche, il reste un rectangle.
- Troisième ligne ; dessiner l'oblique qui joint l'angle en bas à gauche de votre feuille avec le point de jonction de l'horizontale et de la verticale.
Magie ! Vous venez de dessiner l'intérieur d'une salle. Une grande ou une petite salle, c'est comme on veut, ça dépend de la taille de la porte que vous allez y dessiner.
C'est ça la perspective !
Vous avez l'illusion que votre feuille de papier n'est plus plate comme un tapis, mais qu'elle peut contenir des objets, des meubles.
(Pour faire encore plus fort, vous pouvez colorier le côté gauche en gris foncé et le bas en gris clair. N'essayez surtout pas de faire des carrelages, vous allez tout rater ! Mais vous pouvez apprendre à le faire en regardant un livre de perspective qui en parle.




Essayons encore quelques petites choses.

À l'intérieur de cette salle, installez une affiche rectangulaire sur le mur d'en face : dessinez un rectangle.
Dessinez aussi une affiche sur le mur de gauche ; le rectangle se déforme, vous devrez dessiner un parallélogramme.
Si vous installez un tapis sur le sol, vous devrez aussi dessiner un parallélogramme, alors qu'on sait très bien qu’un tapis est rectangulaire !
Installez le carton d'emballage du grand téléviseur bien bloqué dans l'angle du fond.
Vous ne devez avoir que trois types de ligne ; des horizontales, des verticales et des lignes à 45 degrés.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

En cherchant quelques informations complémentaires sur la perspective à la Renaissance je suis tombée tt à fait par hasard sur cet article que je trouve vraiment très bien écrit, et plutot compréhensible! En plus une pointe d'humour ne fait jamais de mal bien au contraire ;)

Lilou a dit…

Votre croquis de La Trinité de Masaccio est faux, L'oeil est bien plus bas(entre le squelette, qui n'es pas sur le croquis alors que c'est un des personnages principale, et les donateurs), oui les personnages les plus bas sont bien des donateurs et non la vierge, qui elle est au dessus qui nous regarde en montrant le christ, à côté d'elle se trouve saint Jean. Bref à vous de chercher la vérité, mais comment puis-je me fier à votre article si vous faites des fautes si grave ?

Anonyme a dit…

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